29 août 2008
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20:53
Au sujet de mon dernier texte publié....
Je ne voulais blesser personne et surtout pas les hommes.
J'ai écrit un ressenti, une émotion, un mal soudain.
Je ne désirais pas généraliser. J'étais agacée, j'avais besoin
de m'exprimer sur un évènement personnel.
Ici, en ce lieu, il me semble que c'est un endroit de libre expression.
Je n'ai attaqué quiconque, et si mes mots ont été trop forts pour certains,
alors pardon.
Oui, je vous aime vous les hommes, malgré vos inconséquences, votre
immâturité bien souvent, et tout le reste. N'empêche que nous les femmes
avons beaucoup à nous reprocher également.
Oui, je vous adore vous les mecs, avec vos défauts, vos détours, vos peurs.
Peur de nous qui espérons tellement de vous.
Oui, je vous chéris VOUS parce que de vous j'ai tellement appris, et vous
m'avez tellement donné. Que vous soyez conjoint, père, frère, ami ou même
amant!
Je ne cherchais pas à Vous heurter, loin de moi cette idée. Je ne souhaitais
que dire ce qui me troublait hier, au moment où j'ai écrit ce texte.
Désormais, je ne dévoilerai plus rien de moi sur ce blog.
J'écrirai de la guimauve, des trucs rose bonbon, genre Arlequin.
Je resterai la chouette copine qui ne se mêle de rien, se tait, ferme sa
grande gueule, et n'écrit que des mots sucrés.
A ceux qui voudraient me clouer au piloris pour mon texte, à ceux qui ne savent
pas qui je suis, je voudrais expliquer qu'en temps que femme, chieuse et chipie
(cela pour leur faire plaisir), je resterai toujours au fond de moi une féministe.
Pas une chienne de garde sans humour, ça non, mais un relais pour toutes les
femmes du monde, bafouées, humiliées, et qui doivent se la fermer à tous les
coups....
Je réitère mes excuses aux hommes que mes mots ne voulaient pas maltraiter.
J'ai pour unique défense, le droit de dire quand je souffre, et mes sentiments.
Personne n'est obligé de me lire. J'accepte aussi toutes les critiques mais pas
les jugements, car entre ces deux termes, il y a une différence!
Voilà, j'en ai terminé. Je ne serai pas suppliciée.
Jamais je n'aurais cru que mon écrit susciterait pareille polémique, et soulèverait
autant de passions.
Ce n'était qu'un poème.
Et sachez que pour le pardon, je ne suis pas la dernière à connaître ce mot.
J'ai très souvent pardonné.
Donc, vous les mecs, soyez rassurés, il y a bien des femmes qui ne sont que
plaies et emmerdements.
Sur ce...
A bon entendeur, salut.
Katherine
Je ne voulais blesser personne et surtout pas les hommes.
J'ai écrit un ressenti, une émotion, un mal soudain.
Je ne désirais pas généraliser. J'étais agacée, j'avais besoin
de m'exprimer sur un évènement personnel.
Ici, en ce lieu, il me semble que c'est un endroit de libre expression.
Je n'ai attaqué quiconque, et si mes mots ont été trop forts pour certains,
alors pardon.
Oui, je vous aime vous les hommes, malgré vos inconséquences, votre
immâturité bien souvent, et tout le reste. N'empêche que nous les femmes
avons beaucoup à nous reprocher également.
Oui, je vous adore vous les mecs, avec vos défauts, vos détours, vos peurs.
Peur de nous qui espérons tellement de vous.
Oui, je vous chéris VOUS parce que de vous j'ai tellement appris, et vous
m'avez tellement donné. Que vous soyez conjoint, père, frère, ami ou même
amant!
Je ne cherchais pas à Vous heurter, loin de moi cette idée. Je ne souhaitais
que dire ce qui me troublait hier, au moment où j'ai écrit ce texte.
Désormais, je ne dévoilerai plus rien de moi sur ce blog.
J'écrirai de la guimauve, des trucs rose bonbon, genre Arlequin.
Je resterai la chouette copine qui ne se mêle de rien, se tait, ferme sa
grande gueule, et n'écrit que des mots sucrés.
A ceux qui voudraient me clouer au piloris pour mon texte, à ceux qui ne savent
pas qui je suis, je voudrais expliquer qu'en temps que femme, chieuse et chipie
(cela pour leur faire plaisir), je resterai toujours au fond de moi une féministe.
Pas une chienne de garde sans humour, ça non, mais un relais pour toutes les
femmes du monde, bafouées, humiliées, et qui doivent se la fermer à tous les
coups....
Je réitère mes excuses aux hommes que mes mots ne voulaient pas maltraiter.
J'ai pour unique défense, le droit de dire quand je souffre, et mes sentiments.
Personne n'est obligé de me lire. J'accepte aussi toutes les critiques mais pas
les jugements, car entre ces deux termes, il y a une différence!
Voilà, j'en ai terminé. Je ne serai pas suppliciée.
Jamais je n'aurais cru que mon écrit susciterait pareille polémique, et soulèverait
autant de passions.
Ce n'était qu'un poème.
Et sachez que pour le pardon, je ne suis pas la dernière à connaître ce mot.
J'ai très souvent pardonné.
Donc, vous les mecs, soyez rassurés, il y a bien des femmes qui ne sont que
plaies et emmerdements.
Sur ce...
A bon entendeur, salut.
Katherine