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  • : Le blog de katherine
  • : poèmes et écrits... au gré de mon humeur... pour qui voudra les lire, s'y trouver ou s'y retrouver
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Texte Libre

Pour écrire en prose il faut
absolument avoir quelque
chose à dire ; pour écrire
en vers, ce n'est pas
indispensable.
Louise Ackermann

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soutien. Grâce à vous, je
puis avancer.

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29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 23:57


Pandore fut créée sur l'ordre de Zeus ou Jupiter qui voulait se venger des hommes pour le vol du feu par Prométhée. Elle fut ainsi fabriquée dans de l'argile par Héphaïstos ; Athéna lui donna ensuite la vie, lui apprit l'habilité manuelle et l'habilla ; Aphrodite lui donna la beauté ; Apollon le talent musical, enfin Hermès lui apprît le mensonge et l'art de la persuasion.
Zeus offrit la main de Pandore à Épiméthée, frère de Prométhée. Bien qu'il eut promis à Prométhée de refuser les cadeaux venant de Zeus, Épiméthée accepta Pandore. Pandore apporta dans ses bagages une jarre mystérieuse (la boîte de Pandore) contenant tous les maux de l'humanité , notamment la Vieillesse, la Maladie, la Guerre, la Famine, la Misère, la Folie, le Vice, la Tromperie et la Passion, ainsi que l'Espérance (ou dans certaines interprétations, la Crainte), qu'il lui fut interdit d'ouvrir.
Une fois installée comme épouse, elle céda à la curiosité et ouvrit la boîte : elle libéra ainsi les maladies et malheurs qu'elle contenait. Elle referma la boîte trop tard pour les retenir, et seule l'Espérance, plus lente à réagir, y resta enfermée...

Etrange que l'Espérance fût enfermée dans une seule jarre avec tous les maux de l'humanité? D'après « l'Iliade », il y avait deux jarres, l'une enfermant les maux et l'autre les biens.

Allez découvrir la légende de la boîte de Pandore, c'est peut-être  la meilleure façon de comprendre bien de choses,notamment vous et nous....

Puis, à méditer!

 

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28 juillet 2008 1 28 /07 /juillet /2008 23:28



Cette petite fille que vous voyez faire des bulles
C'est une enfant comme une autre, rieuse,
N'aspirant qu'à la douce et sereine quiétude
De cette jeunesse insouciante et heureuse.


La vie est en elle, dans ses soupirs, ses joies.
Pas de problèmes, enfin, c'est ce qu'elle croit,
Car un rien suffira à les remettre en cause :
Deux mots de trop, un geste refusé, et c'est l'ecchymose.


Celle des bleus à l'âme, des premiers tourments,
Ceux qui se gravent à jamais, sournois, tapis dans l'ombre,
Qui ressortent quelques années après dans sa mémoire
Et font que son corps va s'abîmer inéluctablement.


T'es pas belle, tu ne fais pas ce qu'il faut, t'es maladroite,
Tu bouges trop, tu es désordonnée, tu n'obéis pas,
Tu es agitée. Calme-toi! tu nous encombres.
Même punie tu te rebelles. Cesse de te tortiller comme ça!


Te rends-tu compte du mal que tu nous fais?
Les cadeaux, les vacances, les tours de manège.
Rien ne te convient,. Il faudra que ça change.
On ne peut pas toujours te privilégier.


Mais ce qu'elle voulait c'était autre chose,
Être comprise, s'entendre dire : tu es mignonne.
Que ses caprices n'en sont pas, juste un manque,
Du vague à l'âme, des SOS, des portes qui claquent!


Ce n'est pas de sa faute si le miroir ne la laisse pas tranquille,
Si les rêves de l'enfance se perdent dans son désarroi,
Elle ne s'aime pas,c'est comme ça!
Bouger, s'agiter, être maladroite, instinctive...


Il suffit de deux mots de trop, d'un geste refusé pour tuer.
Cette petite fille qui fait des bulles vous regardent.
A présent, ce n'est plus sa jolie frimousse que vous voyez.
Mais, les traits creusés et la souffrance ,dans son corps, qui dardent .
.

 

 

 

 

 

 

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28 juillet 2008 1 28 /07 /juillet /2008 01:47
Sur la proposition de Scoubydu41
Il faut écrire un texte commençant impérativement par «  un glaçon »
Avec les 15 mots imposés ci-dessous, à savoir :
Angora, chanter, ordinateur, pousser, allumette,jeune, piscine,sept,rouge, courir ,peindre,
Dépayser, salon, épisodique et linge.

Ajouter à ce texte une illustration.



La jeune femme jette un glaçon dans son verre de coca. Il fait pourtant frais ce soir. Elle enfile le pull angora, s'inspecte dans le miroir, esquisse une moue dubitative. Elle regrette déjà ce rouge trop vif, mais après tout, cela rehausse son teint pâle. Dépayser les couleurs ne fait pas de mal.
Puis, lorsqu'on est jeune, on peut tout se permettre.
Elle va rencontrer celui qu'elle a croisé sur l'ordinateur, sur le Tchat, un soir par hasard. Ils se sont plus,
Ont beaucoup discuté, et au fil des mots, des plaisirs partagés, des musiques évoquées, ils ont fini par se chanter la chanson de l'amour.
Elle sait que celui qui partage sa vie, n'est plus celui qu'elle désire. Jouer la petite fille aux allumettes, craquant chacune jusqu'à se voir mourir, ce n'est plus son truc. Ce qu'elle veut c'est peindre sa vie en bleu ciel!
Cet aprèm c'était piscine, elle a tout fait pour ne penser à rien d'autre qu'à ce rendez-vous aux environs de sept heures, s'est laissé pousser des ailes, juste par plaisir.
Dans le salon, elle écoute  à nouveau le message déposé par cet homme sur le répondeur.
Mince! Il est 18h 30, pas le temps de ramasser le linge avant l'orage qui se prépare! Marre de toujours courir. Elle se pose deux minutes, réfléchit à ce qui lui arrive. Et, si cette rencontre n'était qu'épisodique? Oh! Puis tant pis, vogue la galère!
Elle redessine ses sourcils d'un geste décidé, prend son sac,
Et, sourire aux lèvres, va pousser la porte sur ses pas.

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27 juillet 2008 7 27 /07 /juillet /2008 00:31

 

 



Il est des loups de toute sorte
Je connais le plus inhumain
Mon cœur que le diable l'emporte
Et qu'il le dépose à sa porte
N'est plus qu'un jouet dans sa main

Les loups jadis étaient fidèles
Comme sont les petits toutous
Et les soldats amants des belles
Galamment en souvenir d'elles
Ainsi que les loups étaient doux

Mais aujourd'hui les temps sont pires
Les loups sont tigres devenus
Et les Soldats et les Empires
Les Césars devenus Vampires
Sont aussi cruels que Vénus

J'en ai pris mon parti Rouveyre
Et monté sur mon grand cheval
Je vais bientôt partir en guerre
Sans pitié chaste et l'œil sévère
Comme ces guerriers qu'Épinal

Vendait Images populaires
Que Georgin gravait dans le bois
Où sont-ils ces beaux militaires
Soldats passés Où sont les guerres
Où sont les guerres d'autrefois

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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 23:10



Vous êtes là, dans mes pages, au fil de mes lectures
A vous démultiplier sous mes yeux ouverts.
Des fragments de destins, des douceurs et des fêlures.
Parfois, j'ai envie de gronder sous les rimes et les vers.


Je ne suis pas vous, vous n'êtes pas moi
Mais en chacun de nous, il y a une constance,
Cette extrême et si abrupte persévérance
A écrire ce qu'il faut, ce que l'on doit ou pas.


Les mots sont comme une édifiante armure
De poèmes, en musiques, en dessins ou sculptures.
Nos mots se perpétuent en cicatrices ouvertes
Jouant des plaies, du sang coulant dans nos veines.


Je ne sais plus parfois comment vraiment taper
Sur les touches abîmées de mon clavier
Alors, je les ébranle de petits coups rageurs
Pour vous passer le bâton témoin, la force du cœur.

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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 01:02



Il lui prodigue ses caresses
L'aime plus qu'elle n'en peut,
Éblouissantes promesses
De nuits et jours tumultueux.


Oh! Oh! Oh!...
Les joues empourprées de désir
Oh! Oh! Oh!
Elle se laisse de baisers ensevelir.


Il lui dit que l'amour n'a pas de limites
Qu'il est si vaste que même la lune
S'ennuiera à les regarder vivre
Sous le sable, entre les dunes.
 

Oh! Oh! Oh!
Les joues subtilement cramoisies
Oh! Oh! Oh!
Elle s'abandonne en soupirs gémis.


Il l'enserre entre ses bras ,la câline,
L'émoustille de ses ardeurs
Sous le doux flou imperceptible
Qui se dessine à ses courbes en chœur.


Oh! Oh! Oh!
Les joues de plaisir rosies
Oh! Oh! Oh!
Elle chavire, soupire, toute transie.


Oh! Oh! Oh!
Que de bonheurs donnés
Oh! Oh! Oh!
En gestes tremblés.

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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 00:56



Je les vois le dos courbé
Travaillant sans relâche
Leurs visages par les rides creusés
Sans espoir d'autres rivages.


Ils auront tout donné , acculés par les tâches
Gommant les plaisirs de l'existence.
Pour eux jamais de repos ni de dimanches,
Avancer sans s'arrêter pour une maigre pitance.


Honte à leurs infâmes bourreaux!
Ceux qui tirent parti et profits
Exploitent leur temps, leur énergie
Se gaussent et ont le verbe haut.


Pour ces femme et ces hommes broyés
Je continuerai à me battre
Pour qu'enfin et à jamais le mot Liberté
Flotte telle une oriflamme
.

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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 23:59
S'il vous plaît ne lisez pas uniquement les trois derniers articles
que j'ai publiés( enfin si vous passez par là).
C'est celui intitulé : "Je dis non!", que je voudrais que vous
lisiez en premier, c'est celui-ci auquel je tiens pour réveiller
ce monde qui s'éteint, le réveiller de ma modeste flamme.
Merci d'avance.
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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 23:34



J'effeuille la marguerite :
Un pétale pour à la folie,
Un pour passionnément,
Un pour beaucoup,
Un autre pour un peu.

Comptine connue,je sais
Sauf que je l'ai écrite à l'envers.
Quelle drôle d'idée, pas vrai?
Rebrousse-poil et le contraire...

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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 23:22
Belle vie que celle-ci, toujours.
Ô! Ces songes qui me portent!
Ne tarissant jamais, aux jours
Heureux et sans anicroches.
En eux, je perçois le merveilleux
Usant mon pas tout en bleu
Rêve qu'ils sont vœux.
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