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14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 08:00




Des enfants qui meurent de faim
Un peu partout dans le monde
Sans plus espoir de lendemains.
Visages fermés en détresse.

Ventres affamés et pourtant ronds
Yeux écarquillés en souffrance,
Ravages de malnutrition,
Ni cris ni larmes, abdication.

Naufrage de l'Humanité
Perdition valeurs morales
Intolérables obscénités
Images insoutenables.

Telle est cependant la réalité.
Ne jamais un instant l'accepter,
Se battre contre et revendiquer
Le droit des enfants pour les respecter.

 

 

 

 

 

 

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commentaires

Z
Les puissants de ce monde à la panse bien pleine<br /> Gonflée comme des outres par autant de billets<br /> Ne sont pas assez gras, n’en ont jamais assez<br /> Dans leurs gargantuesques multiples bas de laine.<br /> <br /> <br /> Et pendant ce temps là, on crève en Ouganda<br /> Bangladesh, Somalie, Lesotho ou Soudan<br /> Squelettes affamés vacillants dans le vent,<br /> Fantômes délaissés car ne rapportant pas.<br /> <br /> <br /> Il faut multiplier les euros, les dollars<br /> En vendant, achetant, les yeux hypnotisés<br /> Par les cours de la bourse sur l’écran affichés<br /> Spéculations avides par tous ces charognards.<br /> <br /> <br /> Et pendant ce temps là, des enfants de misère<br /> Pour détourner la faim se nourrissent de boue<br /> Jusqu’à n’en pouvant plus, ils tombent à genoux<br /> Mourant tout doucement dans les bras de leurs mères.<br /> <br /> <br /> Des banquiers affolés voient la dégringolade<br /> Des valeurs des actions, frappées de vraies pelades.<br /> Mais du bel argent frais offert par les Etats<br /> Redonnent le sourire aux sangsues ici bas.<br /> <br /> <br /> Car vous comprenez bien qu’un bébé africain<br /> Dans ce monde amoral n’est pas prioritaire<br /> Il est plus important de sauver les affaires<br /> Tout ce magot virtuel aux effluves vilains.<br /> <br /> <br /> Société injuste en pleine décadence.<br /> Ne vaudrait-il pas mieux qu’elle s’écroule enfin<br /> Construire sur les ruines de meilleurs lendemains<br /> Afin que pour tout être la vie soit une chance ?
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C
Lorsque j'étais enfant, dans les années 65/66, je me souviens avoir été très choquée par un reportage sur les enfants du Biafra... Et puis parallèlement on me disait alors qu'en l'an 2000 on irait en vacances sur la lune ou sur mars, qu'on se nourrirait avec des pilules... <br /> Alors moi dans ma petite tête je me disais que lorsque je serai grande plus personne n'aurait faim, et que j'apporterai plein de pilules pour nourrir ces petits enfants qui n'avaient que la peau et les os... <br /> Maintenant je suis grande, on est en 2008, rien n'a changé pour ces enfants-là et la misère s'étale de plus en plus dans nos rues... et les seules pilules qui font du bien sont les antidépresseurs... <br /> On a rêvé !<br /> Bises Katherine.<br /> Clo
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K
<br /> <br /> Très juste constat chère Clo, hélas et dix milliards de fois hélas... Cependant, je veux croire que ce monde va vraiment changer, même si une petite voix me murmure que ce n'est pas sitôt. Bisous<br /> <br /> <br /> <br />
A
Bonjour. Texte et photo très forts ! Tu as raison de rappeler ces injustices !<br /> Bonne journée. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
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M
Image et mots associés terribles... personne ne devrait avoir à souffrir par la faute d'autres et encore moins les enfants...
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R
Coucou kath, un magnifique poème, on voudrait tellement que ce fléau s'arrête, c'est bouleversant de voir ces jeunes enfants dans une telle misère, surtout que la famine peut avoir de sérieuses répercutions psychologiques, douce soirée bisous
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